Carnet de voyage en Alaska - 8
Nous quittons les beaux macareux huppés pour aller voir les otaries à fourrure. Nous entrons dans une zone réglementée ...
Nous n'avons pas l'habitude mais ici, nous ne pouvons pas nous promener librement. Pour voir les animaux, nous devons rester sur la plateforme d'observation ...
Et juste en dessous, dans les rochers, plusieurs centaines d'otaries à fourrure ...
Une toute mouillée qui sort de l'eau ...
Cette otarie se fait sécher au soleil ...
Celle-ci se repose ...
les jeunes sont à la crèche, (ou peut-être à l'école ?) ...
Les enfants soyez sages !
C'est bon le soleil !
Maman et bébé ...
Nous restons tout un moment, dans notre "cage" à les regarder vivre. Il y a des cris, des plongeons dans la mer, des sorties de l'eau, des poursuites ...
Nous reprenons le chemin vers Saint-Paul et nous observons ces belles fleurs bleues : des aconits à feuilles de delphinium, caractéristiques des îles Pribilof. Ce sont des plantes très toxiques ...
Ce rocher au bord de la plage montre de très belles laves cordées (ne pas oublier que nous sommes sur une île volcanique !) ...
Pour ceux qui ne pouvaient ou ne voulaient pas trop marcher une navette était à notre disposition ...
Nous avons préféré marcher ... dans la poussière !
Le cimetière ...
Nous voici revenus "en ville" (il y a quand même 532 habitants à Saint Paul), devant cette belle petite église orthodoxe.
L'intérieur ...
Le Pope nous explique, que même si ces îles sont américaines depuis 1867, les populations aléoutes ont conservé la religion orthodoxe.
En sortant de cette petite église ...
un regard vers le village du bas, avec au premier plan du blé de mer, commun dans les zones arctiques de l'hémisphère Nord ...
Une touffe de pavot arctique ...
Nous en avions déjà vu au Groenland, au Nunavut et au Spitzberg ...
L'équipe des naturalistes ...
Puis nous allons prendre le tender pour rentrer sur Le Soléal ...
Le long de la jetée, un bateau de pêche. Il ne faut pas oublier que Saint-Paul est un port de pêche et que l'économie de l'île est tributaire de la prise des crabes royaux d'Alaska, sortes de grandes araignées de mer qui vivent dans les océans froids du Nord.
En repartant, Le Soléal passe devant ces orgues basaltiques. Une autre preuve que nous étions bien sur une île volcanique ...
Nous quittons les beaux macareux huppés pour aller voir les otaries à fourrure. Nous entrons dans une zone réglementée ...
Nous n'avons pas l'habitude mais ici, nous ne pouvons pas nous promener librement. Pour voir les animaux, nous devons rester sur la plateforme d'observation ...
Et juste en dessous, dans les rochers, plusieurs centaines d'otaries à fourrure ...
Cette otarie se fait sécher au soleil ...
Celle-ci se repose ...
les jeunes sont à la crèche, (ou peut-être à l'école ?) ...
Les enfants soyez sages !
C'est bon le soleil !
Maman et bébé ...
Nous restons tout un moment, dans notre "cage" à les regarder vivre. Il y a des cris, des plongeons dans la mer, des sorties de l'eau, des poursuites ...
Nous reprenons le chemin vers Saint-Paul et nous observons ces belles fleurs bleues : des aconits à feuilles de delphinium, caractéristiques des îles Pribilof. Ce sont des plantes très toxiques ...
Ce rocher au bord de la plage montre de très belles laves cordées (ne pas oublier que nous sommes sur une île volcanique !) ...
Pour ceux qui ne pouvaient ou ne voulaient pas trop marcher une navette était à notre disposition ...
Nous avons préféré marcher ... dans la poussière !
Le cimetière ...
Nous voici revenus "en ville" (il y a quand même 532 habitants à Saint Paul), devant cette belle petite église orthodoxe.
L'intérieur ...
Le Pope nous explique, que même si ces îles sont américaines depuis 1867, les populations aléoutes ont conservé la religion orthodoxe.
En sortant de cette petite église ...
un regard vers le village du bas, avec au premier plan du blé de mer, commun dans les zones arctiques de l'hémisphère Nord ...
Une touffe de pavot arctique ...
Nous en avions déjà vu au Groenland, au Nunavut et au Spitzberg ...
L'équipe des naturalistes ...
Puis nous allons prendre le tender pour rentrer sur Le Soléal ...
Le long de la jetée, un bateau de pêche. Il ne faut pas oublier que Saint-Paul est un port de pêche et que l'économie de l'île est tributaire de la prise des crabes royaux d'Alaska, sortes de grandes araignées de mer qui vivent dans les océans froids du Nord.
En repartant, Le Soléal passe devant ces orgues basaltiques. Une autre preuve que nous étions bien sur une île volcanique ...
18 h Les naturalistes nous font le "récap." de notre journée à Saint-Paul.
Une belle petite île que nous avons vue sous le soleil mais est-ce le climat habituel ? L'hiver, quand il y a des tempêtes, je me demande comment vit cette petite communauté, au milieu de l'océan, à 300 Km de la terre la plus proche ?
