Carnet de voyage en Alaska - 18
Notre destination aujourd'hui est une petite (minuscule) île qui se dresse au milieu de la mer de Béring. Depuis notre cabine, on devine sur une pente raide un village abandonné, comme hanté. Les maisons en bois, sur pilotis sont en train de s’effondrer. Le vent, la neige et les tempêtes sans doute ...
Lawrence, notre naturaliste qui connait bien la culture inupiate, et qui a passé un été dans ce village, nous explique que 200 Inupiats habitaient dans ce village et y vivaient de la chasse.
Le plus grand bâtiment, le plus près de la mer, était l'école et dans es années 60, elle a été fermée. Les enfants ont du alors quitter l'île et se rendre à Nome pour continuer leurs études. Progressivement, les habitants quittèrent King Island qui fut abandonnée vers 1970. Les intempéries ont fait le reste ...
Après avoir parcouru en zodiac quelques centaines de mètres rafraîchissants, en arrivant près de l'île, le vent est inexistant et la température plus sympathique.
Des phoques tachetés, toujours aussi curieux nous espionnent ...
En passant sous le village, on regarde les restes de l'école ...
Une réunion de macareux ... de 2 espèces différentes !
Cette île abrite des milliers d'oiseaux qui nichent dans ses falaises ...
Des mouettes tridactyles ...
des macareux ...
Il y a des nids à tous les étages !
des guillemots de Troïl bien rangés sur cette petite vire ...
Escalade à pattes nues ?
Ces guillemots ont un petit trait blanc sur le côté du bec : ce sont des guillemots de Brunich !
un nid de mouettes tridactyles avec un poussin ...
on dirait un guillemot à miroir ?
et un guillemot de Troïl ...
2 macareux cornus ...
La pêche a été bonne ...
3 jeunes cormorans ont faim ...
en dessous 2 macareux huppés bien synchronisés ...
un autre nid de mouettes avec un poussin plus jeune ...
de jeunes cormorans attendent les parents ...
Et pour finir, ces magnifique macareux cornus ...
Notre destination aujourd'hui est une petite (minuscule) île qui se dresse au milieu de la mer de Béring. Depuis notre cabine, on devine sur une pente raide un village abandonné, comme hanté. Les maisons en bois, sur pilotis sont en train de s’effondrer. Le vent, la neige et les tempêtes sans doute ...
Lawrence, notre naturaliste qui connait bien la culture inupiate, et qui a passé un été dans ce village, nous explique que 200 Inupiats habitaient dans ce village et y vivaient de la chasse.
Le plus grand bâtiment, le plus près de la mer, était l'école et dans es années 60, elle a été fermée. Les enfants ont du alors quitter l'île et se rendre à Nome pour continuer leurs études. Progressivement, les habitants quittèrent King Island qui fut abandonnée vers 1970. Les intempéries ont fait le reste ...
Après avoir parcouru en zodiac quelques centaines de mètres rafraîchissants, en arrivant près de l'île, le vent est inexistant et la température plus sympathique.
Des phoques tachetés, toujours aussi curieux nous espionnent ...
En passant sous le village, on regarde les restes de l'école ...
Une réunion de macareux ... de 2 espèces différentes !
Cette île abrite des milliers d'oiseaux qui nichent dans ses falaises ...
Des mouettes tridactyles ...
des macareux ...
Il y a des nids à tous les étages !
des guillemots de Troïl bien rangés sur cette petite vire ...
Escalade à pattes nues ?
Ces guillemots ont un petit trait blanc sur le côté du bec : ce sont des guillemots de Brunich !
un nid de mouettes tridactyles avec un poussin ...
on dirait un guillemot à miroir ?
et un guillemot de Troïl ...
2 macareux cornus ...
La pêche a été bonne ...
3 jeunes cormorans ont faim ...
en dessous 2 macareux huppés bien synchronisés ...
un autre nid de mouettes avec un poussin plus jeune ...
de jeunes cormorans attendent les parents ...
Et pour finir, ces magnifique macareux cornus ...
Nous rentrons sur Le Soléal, et à l'arrivée nous rendons les gilets de sauvetage (ceux pour les zodiacs) et les bottes. Demain ce matériel sera inutile, puisque le navire restera à quai.
Ce soir, cocktail de l'Au revoir, suivi du dîner de gala.
20 h 45 concert russe avec la chanteuse Marina Koval et la pianiste Olha Myslyvets.